L'amour n'a pas d'âge

par Antoën Le Roux Lun 2 Aoû - 17:20

Type: Fiançailles
Nom, prénom : Liliane Bettencourt
Age: 87 ans
Métier: Femme d'affaire ( Ni une chanteuse, ni une actrice, ni une mannequin )
Sexe : Femme
Photo:
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Rp - 70 lignes
Manoir de la Boulaie - Une rencontre exeptionelle

Je venais de signer au FC Nantes depuis quelques jours, la joie était immense avec mon premier contrat pro et mon père devait arriver dans la capitale des Ducs de Bretagne pour passer quelques jours avec moi. Pendant l'entrainement, je n'étais pas très concentré car je pensait vraiment à l'arrivée de mon père et l'entraineur l'avait bien vu. Après une seance de frappe aux buts, et une serie de cinq buts encaissé, le coach m'appela, il me demanda mon dossard et m'envoya à la douche. Il termina par cette phrase piquante "Tu reviendra quand tu voudra jouer au football et que tu aura des couilles pour assumer ton rêve". J'avais la larme a l'oeil, je ne me sentait pas bien après cette phrase, je pris seul ma douche et l'eau coula sur moi sans que je reflechisse réellement. Après m'être rhabillé, j'alla presenter mes excuses à l'entraineur puis je rentra chez moi. Mon père allait arriver d'un instant à l'autre et Aleksei m'avait laissé l'appartement pour la soirée pour que je puisse être tranquille avec lui. J'enleva mes affaires de ville pour m'habiller classe, papa m'avait dit qu'il m'emmenait au restaurant et je voulais être beau.

Mon horloge venait d'afficher vingt heures, mon père avait déjà deux heures de retard comme d'habitude et pourtant je pensait que pour ma signature de mon premier contrat pro, il aurait fait un effort. La sonette venait de se declencher, il était enfin arrivé et les remarques desobligeantes fusait déjà sur mon lieu de vie. Il me disait que la colocation était pour les pauvres, que mon appartement était trop petit, pas assez ensoleillé, et caetera. Mon père aurait voulu que j'habite dans une somptueuse maison mais ce n'était pas mon cas. Ensuite, il m'emmena dans un magasins de vetements pour m'acheter un costume pour ce soir car il voulait que je sois parfait car mon dîner entre moi et mon père était déjà annulé, c'était un pu*ain de diner d'affaire pour mon père auquel j'étais convié. Après avoir payé en liquide les 2500 euros du costume, on se dirigea vers le Manoir de la Boulaie. Un restaurant gastronomique à quinze minutes du centre ville de Nantes, un diner d'affaire en dehors des grandes villes pour eviter que l'affaire s'ebruite. A mon arrivée, une table de cinq personnes. Nous étions à un repas avec une femme plutôt vieille et hautaine, un PDG d'une entreprise française d'energie et sa femme. J'étais assis entre mon père et l'autre vieille. Le repas allait être bien long et bien chiant pour moi. Je ne savais pas de quoi parler, je n'était pas un inculte mais leurs vocabulaire distingué melangé à leurs termes pro me donnait la gerbe. La vieille semblait être bien riche selon ce que j'avais compris mais elle semblait surtout un peu coincé. Une femme un peu vieille pour moi, assez charismatique qui me charmait mais un peu trop coincé mais au millieu du repas, alors que je degustais mes langoustine, je m'essuya les mains et que je reposa ma serviettes, sa main se mit sur la mienne et elle me fit un clin d'oeil. Personne ne l'avait vu mais j'en étais retourné, je ne savais pas trop quoi faire. Je fini mon assiette puis une quinzaine de minutes plus tard, je m'excusa et me dirigea vers les toilettes

J'étais enfin seul dans ces toilettes luxueuse, je me passa un coup d'eau sur le visage puis me dirigea vers les urinoirs. J'entendit un bruit derrière moi puis une fumée de cigarette qui se degagea et se rapprocha de moi, je l'a respira, cela faisait longtemps que j'avais arrêter de fumer mais cette odeur me plaisait et me donnait envie de recommencer. Sans me retourner, je demanda à la personne si elle aurait l'obligeance de m'en tendre une et là, ma surprise fut immense quand j'entendis une voix de femme, celle de Liliane Bettencourt, c'était le nom de la personnage agé avec qui je mangeais. Elle me tendit une cigarette, je lui demanda de me l'allumer mais elle commença par jeter un coup d'oeil un peu plus vers le bas et me felicita, elle fut même plus vulgaire en ajoutant que j'étais bien monté, un peu comme les chevaux qu'elle possedait sur Paris. J'étais extrement gené, elle me tendit le briquet, je l'attrappa avec la main droite, mais n'arrivait pas à l'allumer avec une seule main. Je lui demanda donc de me l'allumer mais sans demander l'autorisation, elle m'attrappa par le sexe et me repondit que j'étais assez grand pour me l'allumer toute seule. Je ne me decouragera pas et alluma ma cigarette. Je termina mon besoin naturel puis me retourna, elle me souria, se dirigea vers la porte des toilettes, ferma à clé. J'ecrassa ma cigarette et l'a jeta dans l'une des toilettes. Elle souria et me dit que je devais surement penser qu'a mon age, c'était un plaisir de pouvoir toucher celle d'un jeune mais elle me dit que cela ne lui suffisait pas pour être heureuse, elle re-deboutonna mon pantallon, commença à se baisser. J'étais petrifié.

L'adrenaline composé avec son experience et son talent me procurait un immense bonheur, rapidement je l'a prevena que j'étais pas loin de la fin et qu'elle ferait mieux de se retirer et me tendre un des papier pour s'essuyer les mains mais elle me regarda et me dit qu'elle aimait peut-être le goût des bonnes choses, et ce fut la phrase de trop, une première giclée qui l'a fait sourire, puis je compris plein de chose et essaya de me controler. Je lui demanda d'arrêter, j'essuya ce qu'elle avait laissé puis je remonta mon pantallon. J'avais trouvé le temps très long et pourtant cela ne faisait pas si longtemps que l'on s'était absenté de la table. Elle me glissa sa carte de visite et le nom de son hôtel pour la nuit en me prevenant qu'elle repartait demain vers sa maison principale à Paris. Je pris ma respiration et on se dirigea vers la table. Je termina le repas avec la tête dans la lune, je repensait à ce qui s'était passé quelques minutes plus tôt dans les toilettes. Elle semblait être redevenu froide et indifferente, elle était classe, charismatique et elle savait faire plaisir à un jeune malgré mon âge. Le repas se termina plus vite que notre seance aux toilettes et mon père me raccompagna jusqu'a chez moi mais arrivé en ville, je pretexta une soirée chez des amis pour qu'il me depose à quelques pas de l'hôtel de ma princesse d'un soir ou d'une vie. Je vis la voiture partir de plus en plus loin puis je rejoigna l'hôtel de Madame Bettancourt.

Arrivée dans le Hall de l'accueil, je demanda la chambre de Madame Bettancourt mais personne npensait que j'étais serieux. Je leur proposa de l'appeler et qu'elle dirait que je peux monter, et ce fut rapidement chose faite. Dans l'ascenseur, l'employé qui m'accompagnait jusqu'a la chambre me regardait comme si j'étais une prostitué pour Madame Bettancourt. Enfin arrivée dans sa chambre, elle me proposa une coupe de champagne et quelques fraises, je ne refusa pas mais rapidement elle voulu passer aux choses serieuse et de nouveau, je ne pu refuser, j'étais venu pour ça en même temps. La nuit se passa bien et quand je me reveilla, elle n'était plus à mes cotés. Je me leva, pris rapidement une douche et quitta la chambre. Quand j'arriva dans le Hall, le maitre m'appela et me donna un mot que Liliane Bettencourt m'avait laissé, c'était son adresse personnel, son numéro de telephone. A peine avais-je fini de lire le mot qu'un chauffeur me proposa de monter dans une limousine pour me ramener jusqu'a chez moi, le telephone de la limousine sonna et c'était Madame Bettencourt, elle me fit comprendre qu'a son age, les relations purement sexuel était bien beau mais qu'elle avait pensé aux fiancailles. Elle me dit que je devais la prendre pour une folle mais je l'arrêta de suite et lui proposa qu'on se fiance dès ce week-end. J'espere qu'elle acceptera.